melliflue

Douce comme le miel

Lundi 21 juin 2010 à 20:28



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Ma vision de l'amour serait plutôt... Comment dire... Féministe. Pas révolutionnaire, mais pas habituelle non plus. Désolée, je ne crois pas au Prince Charmant, et encore moins aux histoires d'amour de toute une vie. Dans le fond, je ne suis même pas sûre de croire vraiment en l'amour. Une relation idéale serait pour moi une amitié "améliorée", où les deux partenaires sont au même niveau, et que la complicité prime sur le reste.

De toute manière, j'ai un caractère tellement difficile, que le Prince Charmant typique, je l'écraserai. Je n'ai pas besoin de quelqu'un qui cède absolument à tous mes caprices, et qui est à mes pieds, ni même de quelqu'un qui ne ferait que m'approuver, sans jamais me contredire. Je suis bien trop capricieuse pour ça. Bien trop stressée, névrosée et compliquée aussi. En fait, il faudrait quelqu'un qui apprenne à faire la différence entre mes caprices et mes besoins réels. Et qui soit toujours là pour ces derniers. Je crois que je suis prête à avoir une vraie relation, pour une fois. Et je crois que malgré tout, je suis prête à me donner entièrement à quelqu'un - sans l'étouffer, ce coup-ci.

Melliflue

Vendredi 18 juin 2010 à 22:42







Je déteste lorsque toutes mes amies ont un copain et pas moi.

Limite, je suis anormale !



(Mais surtout exclue)








 

Jeudi 17 juin 2010 à 20:15


En fait, je pense sérieusement que Victor Hugo, c'est pas pour moi. Aux vacances dernières, j'ai essayé de lire Les Misérables sans grand succès, puisque j'ai abandonné au bout de quelques chapitres. Mais tout de même, être khâgneuse sans jamais avoir lu L'Auteur du 19e siècle (ou du moins, de la seconde moitié du 19è siècle), bah ça le fait pas... J'ai donc décidé de lire Notre Dame de Paris, après tout, j'ai adoré le dessin animé. Oui mais voilà, ça fait une semaine que j'y suis, et j'ai à peine dépassé la moitié. Quand on sait que j'ai lu les 1400 pages d'Un monde sans fin de Ken Follet en 5 jours, y'a de quoi se poser des questions. Et cet après midi, je me suis endormie sur le livre au bout d'une cinquantaine de pages... Et pourtant, c'est un auteur qui a beaucoup d'humour !

Quand j'y pense, Victor Hugo n'est pas le seul auteur à me faire ça. Je m'endors aussi sur Chateaubriand et je déteste profondément Flaubert. Au grand dam de mon prof de littérature de cette année, d'ailleurs ! Le nombre de fois où j'ai pu soupirer dans son cours, lorsqu'il en faisait l'éloge, et le nombre de fois où j'ai pu entendre dire "Mais Alicia, vous exagérer, je ne peux pas vous croire !" (oui, parce qu'en prépa, les profs vous vouvoient... Je crois que ça me choquerai qu'un prof me tutoie, maintenant !). Est-ce vraiment de ma faute, à moi, si je suis difficile ? Je ne le fais pas vraiment exprès de détester des auteurs... Mais à côté, les autres, quand je les aimes, je leur voue un véritable culte ! Huysmans, Zola, Balzac, Baudelaire, Stendhal... Là, oui, je suis heureuse quand je les ai entre les mains.

D'ailleurs, je pense que je vais souffrir l'année prochaine, en cours de littérature en khâgne. Parce que l'un des trois axes, c'est la poésie. Et ça, moi, vous voyez, ça me fait un peu ni chaud ni froid, d'en étudier. Je dirais même que ça m'ennuie. Alors, quand je pense que demain je vais à la fnac, acheter Le Spleen de Paris de Baudelaire, ou encore Les Fables de La Fontaine... Mouarf. Sans oublier qu'à côté de ça, j'ai aussi Les Essais I de Montaigne, Le Mariage de Figaro de Beaumarchais et La Route des Flandres de Claude Simon... Double mouarf. Surtout lorsqu'on sait que dans ce dernier, certaines pages font 12 pages ! Oui oui, 12 pages ! Vous vous rendez compte ? Là, je pense que je vais mourir d'ennui, durant ses 400 et quelques pages...

Mais ne pensez pas que je n'aime pas la khâgne, hein. Si j'y vais, c'est parce que je sais que les profs vont réussir à me faire intéresser à ces livres ! Et aussi aux autre matières... Et par dessus tout la philo.


Melliflue

Mercredi 16 juin 2010 à 20:47



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L
orsqu'on fini une année d'hypokhâgne, on se sent terriblement désoeuvrée : que faire, maintenant ? Moi, j'ai décidé de me lancer dans l'écriture. Après tout, ça a toujours été mon rêve : se faire aimer des autres par nos écrits.

J'ai déjà un autre blog que je ne donnerai pas : là bas, tout le monde me connaît. Moi, j'ai envie de recommencer juste comme ça, sans le donner aux personnes qui me sont proches. De cette manière, je verrai réellement qui j'intéresse. Ou si j'intéresse quelqu'un, tout simplement.

Je n'ai aucun don, et je ne sais pas faire grand chose, mis à part assurer dans els études - ce qui est déjà pas mal, soit. Je ne sais pas dessiner, je n'écris pas très bien, je n'ai pas une vie palpitante, je suis même plutôt misanthrope. Mais je refuse de tomber dans la léthargie, je cherche toujours quelque chose à faire. En général, je lis, parce que c'est ce que je préfère, vous savez ? Je suis une lectrice très assidue, ne rien avoir à lire est pour moi synonyme de catastrophe. Oh, j'ai 18 ans, j'attends ma réponse pour la khâgne philo et je suis une fille, aussi (au cas où ça soit passé inaperçu).

Je n'ai pas d'humour non plus. Que de raisons pour passer votre chemin et ne pas suivre mon blog ! Néanmoins, si vous me laissez une petite trace de votre passage, ça me fera toujours plaisir.

Bon vent, les amis !


Melliflue.

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